La
route de la soie n’était pas seulement un négoce, le
savoir-faire, l’art et les pratiques religieuses entre l’Orient
et l’Occident étaient véhiculés d’un pays à l’autre.
L’Ouzbékistan détient les plus beaux joyaux construits du XIV au
XVIe siècle pour accueillir, enseigner et prier.
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1 : Boukhara,
la plus grande cité culturelle et religieuse d’Asie Centrale aux
IXe
et Xe
siècle est devenue un grand centre de commerce au XVIe
où ont été édifiés des dizaines de caravansérails, une centaine
de madrasas et près de trois cents mosquées. Ce qu’il en reste
offre un bel aperçu de l’ancien Turkestan.
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2 :
La place Liab-i-Haouz
autour d’un bassin construit en 1620.
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3 : La Madrasa
Mir Arab
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4 :
Le bazar de Boukhara
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5 : Le bazar –
Les suzanis (broderies ouzbekes).
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6 : La Madrasa
Nader Divanbegi
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7,8 : Artisanat à
Boukhara
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9 :
Le porte-pain
Samarkand,
Perle de l’Orient. Cité légendaire au carrefour des routes vers
la Chine, l’Inde et la Perse. Au XIVe
siècle, Tamerlan en a fait une capitale aux monuments de mosaïques
bleues.
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16 : Le
Régistan était
le centre marchand de la cité. Ces trois madrasas comptent parmi les
plus anciennes préservées au monde.
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19,20,21 : Le
Régistan - Madrasa Tilla Kari terminée en 1660. L’intérieur de
la mosquée est orné d’or pour symboliser la prospérité de
Samarkand.
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27,28 : Cette
avenue d’une quinzaine de mausolées, dédiés à la famille de
Tamerlan et à plusieurs émirs de la région, est l’apothéose de
l’art de la céramique.
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40 : Vestiges
d’un sextant géant dont l’arc subsistant de 11 mètres taillé
dans la roche, est gradué en degrés et en minutes.
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42 : La Mosquée
dédiée à Bibi
Khanoum, une des
nombreuses femmes de Tamerlan, a souffert. Haute de 41 m, c’était
l’une des plus grandes mosquées au monde, le joyau de l’empire
de Tamerlan.
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43,44 : Mausolée
Gour-e-Mir où repose
Tamerlan, deux de ses fils et deux de ses petits-enfants dont Ulug
Beg.
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50,51 : Dans les
champs de coton, le
visage emmitouflé dans un foulard pour ne pas être brûlé, les
femmes grattent la terre avec la houe.
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52 à 55 : Yalla
- bivouac dans une ferme un peu avant Tachkent.
Bernard, "le chef pasta" a des marmitons de 4 à 10 ans autour de lui.
La maman nous apporte le çay de bienvenue.
Bernard, "le chef pasta" a des marmitons de 4 à 10 ans autour de lui.
La maman nous apporte le çay de bienvenue.
Tachkent,
la capitale de presque
trois millions d’habitants a supplanté Samarkand en 1930.
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66,67,68 : La
boulange à Tachkent.
Le boulanger colle les galettes de pain sur la paroi de son petit
four cylindrique en terre.
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70 : En tendant
le bras, on touche le rideau vaporeux du bout des doigts Place de
l’indépendance.
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71 : Le bras
droit levé, le redoutable chef de guerre Amir
Timur (Tamerlan), à
cheval au centre de la place qui porte son nom, semble invincible.
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76 : L’envers
du décor, la vieille
ville de Tachkend
plutôt miséreuse. Elle est défigurées par l’adduction d’eau
aérienne et les conduites de gaz qui courent sur les murs à
mi-hauteur et traversent les rues en arceaux. Aux carrefours, c’est
Beaubourg.
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77 : Ce matin
avant de quitter Tachkent, petit déjeuner au son du dôta (luth à
deux cordes) joué par Murod, notre logeur historien et musicien.